Dirigeante BGene depuis plus d'une décennie, notre équipe et moi utilisons la diversité fonctionnelle des microorganismes pour relever les défis mondiaux tels que la réduction des ressources fossiles et la lutte contre la pollution. Maîtrisant la bioinformatique et la biologie synthétique, nous nous consacrons à la bioproduction durable de molécules de haute valeur ajoutée à partir de matières premières renouvelables et non alimentaires. Je suis arrivée à Grenoble pour mes études en physiologie cardiovasculaire et j’y ai obtenu mon doctorat. Chez Floralis, la filiale de valorisation de l’université, j'ai acquis des compétences essentielles en propriété intellectuelle, marketing et comptabilité, qui ont été décisives dans la co-fondation de BGene. Parallèlement, j’ai été impliquée dans la vie associative en intégrant la section grenobloise du Centre des Jeunes Dirigeants (CJD) et en prenant le rôle de Pirate Planète, puis en étant élue présidente de la section de 2020 à 2022.
La proximité des montagnes est sans doute ce qui frappe le plus lorsqu’on arrive à Grenoble, mais cette ville est bien plus que ça ! C’est un lieu d’excellence scientifique, ce qui favorise son côté multiculturel. Sa proximité avec la frontière a profondément marqué son architecture, si bien qu’en se promenant dans le centre historique, on se croirait en Italie ! Elle vibre entre ses multiples médaillés des sports d’hiver, ses chercheurs internationaux et les fanfares le week-end ! C’est ce parfait mélange qui m’a permis de m’épanouir personnellement et professionnellement, c’était donc une évidence d’en devenir l’ambassadrice.
Je suis fan de Cosmocité à Pont de Claix . Je vais régulièrement y voir les projections dans le planétarium avec mon fils.